Le député à l’Assemblée nationale, Kombaté Dametoti Martin, a procédé le vendredi 18 juillet 2025 au lancement officiel des travaux de construction de sept forages photovoltaïques et de 105 latrines familiales dans la commune de Kpendjal 2.
La cérémonie s’est tenue à Natchabonga dans la préfecture de Kpendjal, région des Savanes.
Depuis son entrée au Parlement, l’honorable KOMBATE n’a cessé de plaider pour des solutions concrètes aux défis d’accès à l’eau potable et à un environnement sain. Son implication active a permis à sa préfecture de bénéficier du projet dénommé : « Accès à l’eau potable et à l’assainissement dans la commune de Kpendjal 2 au Togo », une initiative portée par l’Association Avenir des Jeunes Filles de Dapaong (AJFD), avec l’appui technique de l’Association pour la Promotion du Développement Intégral des Femmes (APDIF).
Ce projet structurant s’étend à sept villages de la commune, à savoir Natchabonga, Yiégou, Kontenga, Gbentchale, Sabenfoanou, Naliégou et Saguidjoaga. Il vise une amélioration durable des conditions de vie des populations par l’accès à une eau de qualité et aux structures sanitaires adéquates.
A l’occasion, le député Kombaté a exprimé sa profonde reconnaissance aux partenaires techniques et financiers de ce projet. Il a exhorté les populations bénéficiaires à accompagner les équipes sur le terrain afin d’assurer la réussite et la pérennité de l’initiative.
« En collaboration avec les autorités locales, la chefferie traditionnelle, les agents de santé communautaire et les comités de développement à la base, nous serons garants de la préservation, de l’entretien et du bon usage de ces infrastructures», a-t-il déclaré.
Les forages à énergie solaire offriront aux familles une source d’eau potable, réduisant significativement les longues distances à la recherche de ce bien vital.
Les bénéficiaires n’ont pas manqué de manifester leur gratitude envers le gouvernement, qu’ils considèrent comme le véritable artisan de cette avancée sociale. Ce projet, salué comme un soulagement pour les femmes, illustre, selon eux, la vision humaniste du Président du Conseil, Faure Essozimna Gnassingbé en faveur des communautés les plus vulnérables.
Pour sa part, Pascaline Toulouse, coordinatrice de l’AJFD, a rappelé les origines du projet. C’est le fruit d’une coopération efficace et durable avec les partenaires. Elle a réaffirmé l’engagement de son organisation à soutenir toutes les initiatives à impact direct sur les populations à la base.
Le projet s’inscrit dans une dynamique de développement participatif, valorisant l’autonomisation communautaire, la promotion de l’égalité du genre et le renforcement des capacités locales, pour un accès équitable et durable à l’eau potable et à un cadre de vie sain.