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Avec pour objectif premier, la desserte qualitative et quantitative en eau potable aux populations togolaises, une délégation de la direction générale de la Togolaise des Eaux (TdE) conduite par son Directeur Général, a effectué en début de la deuxième quinzaine du mois de mars, une tournée à l’intérieur du pays pour des échanges francs et constructifs avec les membres de ses services de production et d’exploitation.

Après l’étape de Tsévié dans la préfecture de Zio où le DG et sa suite ont eu à échanger avec le personnel des services de production et d’exploitation des régions Maritime et Plateaux, la délégation a posé ses valises à Kara le 15 mars, pour le même exercice avec ceux des régions Centrale, Kara et Savanes.

En effet, suite à l’allégement des restrictions sanitaires entre temps strictement observées pour freiner la propagation de la pandémie au covid19, l’an 2023 apparait comme une année repère pour le changement de paradigme pour la  relance des projets de développement. Dans l’optique de ce changement de paradigme, la direction générale de la TdE consciente que « l’eau c’est la vie »,  par le biais d’une maintenance préventive et curative des ouvrages, opte pour un suivi de la production d’eau potable non seulement en quantité mais aussi en qualité. Elle vise en outre à la dématérialisation des processus et pratiques au sein de la société d’eau, à l’appropriation de la transformation digitale et la démarche qualité. Dans cet ordre d’idées, un ensemble de formules adéquates inscrites dans la vision de la direction générale de la TdE est à vulgariser. D’où cette  tournée dans le Togo profond pour un partage avec tout son personnel, du nouveau  repère de travail.

Cette vision est inscrite dans la feuille de route gouvernementale 2020-2025. Elle entend renforcer l’inclusion et l’harmonie sociales en vue de garantir la paix, dynamiser la création d’emplois en s’appuyant sur les forces de l’économie et, moderniser le pays par le renforcement de ses structures. La feuille de route   gouvernementale a réservé une place déterminante au secteur de l’eau..

Ainsi, la rencontre de Kara tout comme celle de Tsévié, a permis de renforcer la proximité entre hiérarchie et personnel des trois régions du septentrion, de partager avec les principaux acteurs de l’eau, les différents mouvements qui s’opèrent au sein du secteur.

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